
Les problèmes de santé mentale peuvent toucher n’importe qui, à n’importe quelle étape de la vie, et se manifester de différentes manières. Au cours d’une année, une personne sur cinq au Canada peut être aux prises avec des problèmes de santé mentale, quels que soient son milieu social, sa culture, son identité ou ses origines. Et lorsque la santé mentale est affectée, la santé physique l’est également.
La gouverneure générale est résolue à profiter de ce moment de notre histoire afin de poursuivre le travail de déstigmatisation des problèmes de santé mentale, afin qu’ils soient considérés de la même façon que les maladies physiques, que l’on y porte la même attention et que l’on offre aux personnes qui en souffrent la même compassion ainsi que la même compréhension.
Aborder les questions de la santé mentale et du bien-être dans nos familles, dans nos écoles, dans nos lieux de travail et dans nos services de première ligne est un travail ardu et nécessaire, mais qui peut renforcer nos communautés, les rendre plus saines et florissantes.
En tant que personnes et en tant que pays, nous devons accorder à la santé mentale la même importance qu’à la santé physique. En créant une plateforme qui permettra aux Canadiens et Canadiennes de parler de leurs expériences et des meilleures pratiques, j’espère instaurer un réseau de soutien, d’idées, de résilience et d’espoir. Ensemble, nous pouvons améliorer le paysage de la santé mentale dans tout le pays.
La gouverneure générale est déterminée à faire tomber les barrières entre notre conception de la santé mentale et notre conception de la santé physique.









